Forfaiture d’un été qui dure ;
Mascaret d’angoisse
Assaille mon antre tubulaire ;
Résonnant en échos nauséeux ;
Cæruleum amorphe
D’une mer crêtée d’écume ;
Flotte l’ombre
D’un optimisme présomptif ;
Nuages cuivrés
Sans lueur aucune ;
Brasille mon esprit ;
Et vive le biscornu.