Naphte incandescence…
Au fournil du cœur,
La pâte pétrie de l’esprit
Trouve quelqu’un à haïr ;
Blanche gelée poudre les ombres,
Amour en déshérence,
Lumière butyreuse
D’une nostalgie anatife ;
Sur l’iridescente promesse
de rapines vagabondes ;
C’est l’au revoir venteux
À un estran aveugle.